Si vite gagne l’oubli
Que ramèneras-tu
Sous tes semelles de plomb ?
De ces bonheurs enfouis
Un souvenir vivace
Ou le parfum fugace
Des choses éphémères ?
À vaquer dans le rien
Nous embrassons l’immense
Où commence la fin
Sinon dans le savoir…
Que ramèneras-tu
De cet étonnement
Qui résiste à l’oubli
Dans sa métamorphose ?
Le ciel vu de là-haut
Est une mer sans vagues
Dis ! de combien d’oiseaux
Comptent tes nuits sans lune ?
J’aime beaucoup ce poème Josette,
Ces vers offrent un écho inattendu
Au silence
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Merci à vous. 🌿
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