
De ce je ne sais quoi
qui n’appartient qu’à nous
ce parfum inviolé
des choses singulières
gardant tel un mystère
leurs mondes ensevelis
et le subtil éther
de l’âme insaisissable
dénommée poésie.
Et sur nos corps de marbre
passe une rêverie.
De ce je ne sais quoi
qui n’appartient qu’à nous
ce parfum inviolé
des choses singulières
gardant tel un mystère
leurs mondes ensevelis
et le subtil éther
de l’âme insaisissable
dénommée poésie.
Et sur nos corps de marbre
passe une rêverie.
Une grande douceur qui pourrait bien être la plus grande force..
Merci Josette…
Belle journée.
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Merci Barbara. Douce journée à vous. 🌸
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Le vif argent de l’eau fertile
ce feu qui navigue traverse…
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Les veines du marbre laissent notre trace… 😉
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