C’était le matin… je marchais vers toi.

C’était le matin… je marchais vers toi.

Les premiers rayons obliques du soleil contrastaient avec ce souffle sur mon visage, encore rempli de la fraîcheur de la nuit.

Toi mon grand soleil qui éclaire, mais ne brûle jamais.
Aucune ombre n’est la bienvenue entre toi et moi.

Marcher vers toi c’est toujours comme me rendre à un rendez-vous important. Dans cette avancée corps et esprit tendus de même attente.

L’espace revisité, l’espace comblé, l’espace habité.

La mort effacée.

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