« Je ne crois ni à ce que je touche, ni à ce que je vois, je ne crois qu’à ce que je ne vois pas et uniquement à ce que je suis »
J. Tharaud
Quand l’attente est latente
Au cadran de nos jours
De combien de neuvaines
Dans ce désoeuvrement
Et ce parfum d’encens
Qui court sur les lèvres
Embrasées des amants
Un souffle sibyllin
Se confronte au réel
Tout chargé de divin
Sous la voûte du ciel.