Un soir où en son cœur l’ennui creusait sa peine
Donnant du poids aux heures sans plus que temps s’égrène
Quand elle pensait enfin l’avoir pu contenir
En force lui revint le bien doux souvenir.
De la chaude journée l’air distillait aux sens
Les senteurs d’un bouquet aux multiples essences
De la mer les embruns montant jusqu’au chemin
Épiçaient d’un parfum sucré salé les pins.
D’autres, plus loin, gauchis par les vives tempêtes
Semblaient saluer la vie en inclinant la tête
Et la route verdie par la double voilure
De ce tableau vieilli égayait la peinture.
À marcher dans les pas de cet amour défait
S’épuisaient les raisons à ne plus y penser
Quand l’écho prisonnier du mur de ses silences
S’échappait de ces lieux qui avaient vu l’enfance.
► Le chemin est ardu pour parvenir à trouver l’harmonie à laquelle elle aspire…
J’aimeAimé par 1 personne
Josette,
Je viens de m’apercevoir que j’étais désabonnée de chez vous!!!
Je ne sais par quelle opération maladroite que j’aurais pu commettre…
Heureusement que j’ai vérifié…
Je reprends donc ma lecture de vous avec ce premier très beau poème que j’avais manqué…
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Barbara. Belle fin de journée 🌹
J’aimeAimé par 1 personne
Suis désolée et n’aime pas ces mauvais tours de WP—
J’aimeJ’aime