C’est l’heure où les faiblesses deviennent des forces, où la fragilité se fortifie de la fierté du tenir, et où le chemin se pave de persévérance.
À l’heure
Où le bleu
Calme les fièvres
Où tout se noie
Se confond
S’abandonne
À l’indistinct
De l’horizon
Effacement d’un monde
Aux contours imprécis
Dans le vaste
Qui s’étire
Fleurs de silence
Sont les mots
Que la nuit embrasse
Et puis comme un rappel
Ce tête-à-tête
Avec l’absent.
C’est beau…
Et je ne sais si l’écriture guérit le manque, je ne le crois pas…
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Merci Barbara. Pour le manque, je ne pense pas non plus, l’écriture permet juste de l’habiller en le rendant moins violent, surtout pour le lecteur.
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