Dans l’immense et l’infime aux confins de l’étrange
Il est partout, partout, m’a révélé un ange
Dans le matin frileux, le crépuscule ardent
Dans l’opale irisée d’une larme d’enfant.
Dans le rideau de pluie que traverse le jour
Ces lueurs perlées d’un elfe pris d’amour
Célestes sont les voix qui portent l’indicible
Aux portes du poème écrit dans l’invisible.
Il est partout, partout, m’a révélé un ange
Dans l’immense et l’infime aux confins de l’étrange
L’éternité s’exprime à travers le vivant
Entre nos yeux mi-clos œuvrent tous les printemps.
Très beau.
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Merci Barbara. Belle fin de journée 🙂
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A vous aussi, Josette
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« L’éternité s’exprime à travers le vivant… » C’est tellement vrai.
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Merci !
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la pluie s’efface
un jour
sur la glace
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Toujours efficace ! Merci Dominique.
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🙂
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Entre l’immense et l’infime, seul le vivant, je crois, cultive l’éternité.
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Peut-être, mais la récolte, elle, est ailleurs.
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