Il est une lumière impossible à saisir
Les hommes de tout temps tentent de l’esquisser
Ils œuvrent pour percer de l’éclat ce sourire
Quand seule la nature a pour don la beauté.
Affublé d’une plume, un pinceau, un archet
Si sans rien de la flamme où la beauté transpire
À l’homme la pensée seule ne peut suffire
Il faut mettre de l’âme et du cœur à l’ouvrage
Transformer en éther le moindre paysage
En grâce permuter la fresque du désir
Laisser la volonté dans l’œuvre s’évanouir
N’en garder que l’essence où naît toute beauté.
Géographie de l’instant…
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Merci !
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